+ je me demande | Dolcu Emilia [22.Sep.10 10:30] |
La traduction préserve l’ineffable du poème d’origine. Je me demande seulement si c’est sur n de racine qu’il faut mettre en avant. Mais il ne s'agit là que d'une simple question. | |
+ sur le rameau premier de la lumière | Daniel Gherasim [22.Sep.10 12:05] |
oui, en effet, une très bien faite traduction. d'habitude, on ne peut pas entendre la meme chose en lisant un poème et puis sa traduction, mais ici, les deux textes expriment le meme sentiment. félicitations pour l'auteur, Ioan-Mircea Popovici et plus de félicitations pour vous, madame maria Gheorghe. Amicalement, DAniel. | |
= bleu-reflets (et patati et patata) | Ioan-Mircea Popovici [22.Sep.10 16:25] |
on voit maintenant comment elle est si importante la bille qui roule dans l’escalier comment elles sont importantes les moitiés inégales des jumelles on verra plusieurs choses qui existaient du début mais nous et les écailles étions les seuls à ne pas savoir ………………………………………………….. et parce qu’aujourd’hui il fait deux fois 11 je laisse la bille rouler et patati et patata en culbutes et en bleu-reflets ................................. | |
= rien de plus... qu'à l'écoute | Maria Gheorghe [23.Sep.10 05:15] |
Emilia, ton questionnement est très pertinent est bienvenu... je modifierai et j’avantagerai l’accent sur «i»... la descente sera plus profonde... «i» est le maître de l’imaginaire... Daniel, le vrai «coupable»... c’est le Poète... c’est lui-même qui dit : les poètes sont comme ça... avec les lettres d’un alphabet mystérieux vêtues d’un manteau entrelacé d’un seul fil sans début sans fin un jardin secret n’est-ce pas, Poète? je vous demande pardon pour l’interprétation «personnel» du verbe qui mène à la racine... corrections faites. merci à vous tous maria | |